Conditionnel
Le Prestige a coulé : une catastrophe écologique de plus.
Cette saleté de bateau poubelle a coulé près de l'Espagne. Aujourd' hui il déverse sa cargaison de polluant sur les côtes espagnoles. Les médias français nous disent que la marée noire va peut être s'échouer sur les plages françaises, autrement dit Biarritz, Saint Jean de Luze... bref, "on" nous dit tout au conditionnel, mais on a tellement l'habitude d'entendre les médias parler de tout au conditionnel que aujourd'hui rien ne nous prouve que cela ne va pas arriver. Je rêve de vivre sur la côte basque, là où les plages n'ont pas de fin, où les moules sont excellentes, où le soleil cache les nuages, où la température est toujours plus élevée au' à Paris, où notre chien pourra courir sur la plage, où l'on pourra ne plus prendre le métro, où la moto sera notre principal véhicule sans souci de se faire renverser par ces cons de Parisiens qui grillent les feux rouges pour être le premier à s'engouffrer dans le prochain embouteillage.
Quand prendrons nous conscience que nous n'avons qu'une Terre et quelle est précieuse ?
Quand arrêterons nous de faire passer en premier les intérêts financiers de Total Fina avant les intérêts de la planète. C'est clair, c'est un refrain bien connu... mais malheureusement peu entendu, il n'y a pas de réponse, ou peut être une réponse ... au conditionnel.
Le Prestige a coulé : une catastrophe écologique de plus.
Cette saleté de bateau poubelle a coulé près de l'Espagne. Aujourd' hui il déverse sa cargaison de polluant sur les côtes espagnoles. Les médias français nous disent que la marée noire va peut être s'échouer sur les plages françaises, autrement dit Biarritz, Saint Jean de Luze... bref, "on" nous dit tout au conditionnel, mais on a tellement l'habitude d'entendre les médias parler de tout au conditionnel que aujourd'hui rien ne nous prouve que cela ne va pas arriver. Je rêve de vivre sur la côte basque, là où les plages n'ont pas de fin, où les moules sont excellentes, où le soleil cache les nuages, où la température est toujours plus élevée au' à Paris, où notre chien pourra courir sur la plage, où l'on pourra ne plus prendre le métro, où la moto sera notre principal véhicule sans souci de se faire renverser par ces cons de Parisiens qui grillent les feux rouges pour être le premier à s'engouffrer dans le prochain embouteillage.
Quand prendrons nous conscience que nous n'avons qu'une Terre et quelle est précieuse ?
Quand arrêterons nous de faire passer en premier les intérêts financiers de Total Fina avant les intérêts de la planète. C'est clair, c'est un refrain bien connu... mais malheureusement peu entendu, il n'y a pas de réponse, ou peut être une réponse ... au conditionnel.
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