Ce soir je vais à la Fanny's Party spéciale Fiiiiiiille !
Qui sera là ?
Je poste au fil des jours mes créations, mes impressions sur le quotidien, ce qui me surprend, me fascine ...
jeudi 23 novembre 2006
On teste, on clique et on s'en va ...
Je teste un petit service de nuages de tags, je ne sais pas si c'est très efficace car j'ai l'impression qu'il ne va pas fouiller dans mes archives ...
N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.
C'est un service proposé par http://zoomclouds.egrupos.net/
... vous pouvez rester hin ! ;)
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N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.
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... vous pouvez rester hin ! ;)
mardi 21 novembre 2006
Les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus. Mais quel est le plus con des deux ?
Vu et entendu avec mes yeux et mes oreilles qui n'en reviennent toujours pas ...
Caisse de supermarché, un couple, Monsieur gros bide et Madame allumette.
Monsieur gros bide passe ses achats du caddy au tapis roulant.
Madame allumette crie "Ahhhhh, mes bonbons préférééééééés"
Elle attrape quatre paquets de bonbons en bout caisse et les jette sur le tapis roulant.
Monsieur gros bide : "Ah t'es bien une gonzesse toi ! Ca passe son temps à se plaindre que c'est grosse et à faire des régimes à la con et ça bouffe des paquets de bonbons à la pelle, faut pas t'étonner non plus !"
Madame allumette : "Ah ouais! Et bien moi j'assume ma grossité !"
Je répète : Mais quel est le plus con des deux ?
Vu et entendu avec mes yeux et mes oreilles qui n'en reviennent toujours pas ...
Caisse de supermarché, un couple, Monsieur gros bide et Madame allumette.
Monsieur gros bide passe ses achats du caddy au tapis roulant.
Madame allumette crie "Ahhhhh, mes bonbons préférééééééés"
Elle attrape quatre paquets de bonbons en bout caisse et les jette sur le tapis roulant.
Monsieur gros bide : "Ah t'es bien une gonzesse toi ! Ca passe son temps à se plaindre que c'est grosse et à faire des régimes à la con et ça bouffe des paquets de bonbons à la pelle, faut pas t'étonner non plus !"
Madame allumette : "Ah ouais! Et bien moi j'assume ma grossité !"
Je répète : Mais quel est le plus con des deux ?
dimanche 19 novembre 2006
IL y a des we que l'on attend avec impatience, et puis il y a ceux que l'on repousse encore et encore.
Ce we était de ceux dont on a envie mais que l'on repousse car on sait qu'il va faire mal. On ne sait de quelle façon mais on sait que ce sera difficile.
Et paf, dans ta gueule, tu le savais...
Trois heures à chialer, à parler, à faire chialer sa mère, à entendre de sa bouche le mal que l'on a fait et s'entendre dire aussi que l'on a bien agit. Se prendre en pleine tête le constat lamentable d'un échec que l'on connait parce qu'on le vit.
Trois heures à entendre ce que l'on a essayé de se cacher pour mieux vivre.
Se reconstruire, aller de l'avant, foncer, je ne pense qu'à cela depuis des mois, tout reprendre, effacer les mauvaises ondes, tracer deux grands traits, un qui raye ce qui n'allait pas et un qui trace le chemin droit devant. Samedi soir je me suis prise le mur en pleine face. Un mur s'est dressé sur mon chemin.
Je ne supporte plus le silence et j'ai du mal avec la solitude. Alors je vis et je remplis les instants, les silences de bonnes choses, d'amitiés, d'alcool, de photos, de joie, de ciné, d'amour, de tendresse, de paroles, de rires, de rencontres, de de de ... Je me sens vivre, je suis heureuse.
Et d'un seul coup, paf, boomerang, après presque 5 mois. Je me prends mes quatre vérités. On remue l'histoire et on repleure. Prendre une cicatrice, un couteau, planter, lacérer, tourner et recommencer jusqu'à faire saigner encore et encore.
Je pensais ne plus avoir de larmes, que tout le monde se rassure, j'en ai encore et demain j'aurai les yeux explosés, fais chier.
J'ai écris tout ça samedi, aujourd'hui dimanche je suis remontée à bloc. Un we comme ça, ça laisse des traces, mais je ferai en sorte que cela me rendre encore plus forte.
Ce we était de ceux dont on a envie mais que l'on repousse car on sait qu'il va faire mal. On ne sait de quelle façon mais on sait que ce sera difficile.
Et paf, dans ta gueule, tu le savais...
Trois heures à chialer, à parler, à faire chialer sa mère, à entendre de sa bouche le mal que l'on a fait et s'entendre dire aussi que l'on a bien agit. Se prendre en pleine tête le constat lamentable d'un échec que l'on connait parce qu'on le vit.
Trois heures à entendre ce que l'on a essayé de se cacher pour mieux vivre.
Se reconstruire, aller de l'avant, foncer, je ne pense qu'à cela depuis des mois, tout reprendre, effacer les mauvaises ondes, tracer deux grands traits, un qui raye ce qui n'allait pas et un qui trace le chemin droit devant. Samedi soir je me suis prise le mur en pleine face. Un mur s'est dressé sur mon chemin.
Je ne supporte plus le silence et j'ai du mal avec la solitude. Alors je vis et je remplis les instants, les silences de bonnes choses, d'amitiés, d'alcool, de photos, de joie, de ciné, d'amour, de tendresse, de paroles, de rires, de rencontres, de de de ... Je me sens vivre, je suis heureuse.
Et d'un seul coup, paf, boomerang, après presque 5 mois. Je me prends mes quatre vérités. On remue l'histoire et on repleure. Prendre une cicatrice, un couteau, planter, lacérer, tourner et recommencer jusqu'à faire saigner encore et encore.
Je pensais ne plus avoir de larmes, que tout le monde se rassure, j'en ai encore et demain j'aurai les yeux explosés, fais chier.
J'ai écris tout ça samedi, aujourd'hui dimanche je suis remontée à bloc. Un we comme ça, ça laisse des traces, mais je ferai en sorte que cela me rendre encore plus forte.
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